Depuis 2018, le climat sécuritaire se dégrade en Haïti. En 2021, cette dégradation atteint son paroxysme. Les cas de kidnappings se multiplient, les viols et assassinats se comptent par dizaines, voire par centaines. Les attaques de bandes armées émaillent le quotidien alors que les autorités se montrent totalement impuissantes à faire face à ce climat de tension qui sème le deuil dans les familles haïtiennes. Personne n’est épargné. Comme résultats : des centaines de personnes fuient le pays et les universités se vident. La peur envahit les cœurs et les esprits, les gens ont peur de sortir, d’autres le font par obligation. Ce phénomène touche le monde universitaire et a causé beaucoup de cas d’abandon, a découvert le média d’information et d’investigation en ligne Enquet’Action.
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