Du premier massacre à La Saline en 2018, au plus récent cas de kidnapping, en passant par l’assassinat du président en fonction Jovenel Moïse, l’échelle de l’horreur demeure sans limite. A ce jour, on n’a vu aucune soupape morale, aucun frein matériel, voire d’initiative politique pour faire barrage à la prédation devenue le principal moyen d’exister socialement.